Hiistoires de femmes rondes

Willy ,Sam et Nic sont amis depuis le lycée et chaque année ils partent pour trois semaines dans un camping situé sur l'ile d'Oléron. Cette année ils ont décidé de se passer de tentes pour louer directement un bungalow. Quand ils débarquent c'est le début du mois d'août, il fait un temps magnifique et à première vue les jolies filles sont au rendez-vous. Du reste Willy repère déjà une métisse à la brésilienne, une peau mate ,une taille fine et des cheveux châtains bouclés et très longs qui lui tombe presque jusqu'aux fesses.

  -Regardez moi ce canon les gars. Je sens que ça va conclure cette année...

Nic intervient.

  -Elle se trouve avec ses parents sur l'allée juste derrière la notre. 

  -Dis donc tu es bien informé. Et toi Sam qu'est ce que tu en penses.

L'interressé fit la moue.

  -Super jolie mais personnellement elle est bien trop mince pour moi. 

Ses copains se mirent à ricaner.

  -On sais que t'es du genre vicelard!... Toi tu les préfère bien larges et débordantes...

  -Débordantes d'amour...

 

Et de ce fait Sam avait déjà repéré à côté des sanitaires collectifs un couple dont la femme possedait une silhouette généreuse conforme à ses critères esthétiques et sexuels. Belle femme blonde pas très loin de la trentaine la peau rougie par le soleil, vétue d'un bermuda rose et d'un tee-shirt qui ne dissimulait en rien ses belles formes. Elle était accompagnée de son mari ou compagnon et Sam fut prit d'une petite pointe de jalousie. Il ne pouvait en être parfaitement sûr mais il lui semblait qu'en croisant son regard elle lui avait très légèrement souri...

En y repensant et avec la chaleur Sam commencait à bander serieusement dans son caleçon. Vivement la piscine cet après-midi!.

 

Et du reste le lendemain au petit matin il la retrouva en train de remplir quelques bouteilles à la fontaine. Elle était seule. Sam ne savait comment réagir. Finalement quand elle eut finie elle sursauta de le découvrir derrière.

  -Vous m'avez fait peur!. Vous êtes bien matinal.

Sam du tac au tac.

  -J'aime bien me lever tôt. Etre debout avant les autres.

  -Moi aussi, ça promet d'être une bonne journée!. Mais nous nous sommes déjà croisés il me semble...

  -En effet. Hier à l'entrée. Vous étiez avec votre conjoint.

  -Mon mari. Au fait je m'appelle Evelyne.

  -Et moi Sam.

Evelyne rassembla ses bouteilles.

  -Et bien Sam ,nous nous reverront. Bonne journée.

 

Le reste de la journée il repassa sans cesse cette conversation dans sa tête. "Nous nous reverront". Cela lui bourdonnait dans la tête. 

 

Le lendemain ,il la retrouva de nouveau à la fontaine pour remplir ses bouteilles. Cette fois une serviette enroulée à la taille et un haut de maillot de bain supportait ses seins.

Cette fois ci elle le vit.

  -Bonjour Sam. Bien dormi?.

  -A merveille.

 

Il remarqua sa peau rougoyante.

  -Vous avez attrapé un coup de soleil.

  -Je me suis trop exposée. Hier j'étais à la plage et je me suis pris des coups de soleil.

  -Il vous faut de la biafine.

-Mon mari m'en a déjà appliqué mais ce n'est pas suffisant...

Elle se tourna vers Sam. 

  -Vous ne pourriez pas m'en appliquer. Je ne peux pas le faire partout toute seule. La biafine est dans ma caravane.

  Sam entendit ces mots comme dans un rêve.

  -Si ca vous rend service, allons-y.

 

Et ils se rendirent dans la caravane. Sam nota qu'elle se situait à l'emplacement 138. Quand ils furent à l'intérieur Evelyne fouilla l'armoire à pharmacie et en sortit la biafine.

-Vous ne pouvez pas savoir comment ca fait mal sur une peau claire!.

Elle retira sa serviette révelant son large postérieur et ses magnifiques bourrelets, puis s'allongea sur le lit qu'elle partageait avec son mari. Sur le ventre, elle dégraffa son haut et Sam commenca à lui appliquer la biafine sur son dos.

  -Ton mari ne risque pas de venir?.

  -A cette heure là ,il se lave pour ensuite s'attarder sur le petit déjeuner du restaurant. Ne t'inquiètes pas je connais mon homme.

Les mains de Samuel étalaient langoureusement la crème sur le dos cambré d'Evelyne qui se mit à émettre des soupirs de plaisir.

  -Tu as des mains douces ,Sam, tu sais très bien t'en servir. 

 Puis elle enleva le bas.

  -Maintenant j'aimerai que tu m'en passe sur les fesses.... mmmhh...ouuiii...  comme ça!.

  - Tu n'as aucune marque de maillot!...

  -C'est parce que je bronze intégralement sur une plage naturiste... mmmmh...continue!...

  Et ses mains lui carressèrent ses superbes fesses gélatineuses. Evelyne se tortillait tout en poussant des gémissements de plus en plus forts.

 

  -Allez maintenant tu vas me faire le devant!.

Et elle se retourna. Ses seins étaient tombants et en forme de poires. Les mains de Sam étaient trop petites pour les prendre entièrement.

-J'adore bronzer seins nus. Vas-y. Tripotes-les!!!...

 

Et il les tripota ,malaxa,tira ,mit quelques petites claques. De temps en temps il lui doigtait sa chatte qui se trouvait ornée de quelques touffes de poils blonds. Evelyne se tortillait telle une anguille. N'en pouvant plus elle lui dit de sortir sa bite et de jouir sur ses seins, ce qu'il fit. Après quelques secondes de masturbation son sperme jaillit à gros bouillon sur les lolos d'Evelyne qui se les carressa afin de bien en étaler toute la jouissance avant de lècher le tout amoureusement.

  Comblée ,elle le regarda d'un oeil coquin.

  -Finallement je préfère cette biafine là. Merci Sam. Maintenant on va se revoir très souvent...