Hiistoires de femmes rondes
Madame Clément s'occupe d'un vieil immeuble du centreville et elle en est à ce titre la concierge. Veuve de bonne heure on lui prête une quantité impressionnante de liaisons. Il faut dire que madame Clément dispose de solides atouts:une énorme poitrine qui faisait le bonheur de son défunt mari et un derrière très large et lourd.
Ce jour là elle attends un colis et guette donc le facteur. Elle a repéré le petit manège de ce bel homme brun un peu plus jeune qu'elle. Pour l'occasion elle a revétu sa robe rouge à fleurs blanches mettant en valeur ses formes opulentes. Ca sonne. C'est lui. Il lui fait signer le colis. Elle lui propose un café. Le postier accepte et rentre dans la loge. Madame Clément le fait s'asseoir à la table de la cuisine. Pendant qu'elle sert le café elle se penche ostensiblement et le type ne perd pas une miette de cet incroyable spectacle.
"Autant se détendre..." dit il,frondeur.
Madame Clément sourit. "Pourquoi dites vous ça?..." "Parce que vous avez une très jolie robe et qu'elle vous met bien en valeur." Madame Clément se relève"Vous savez ,il y a d'autres choses qui me mettent en valeur..." Joignant le geste à la parole elle dégraffe deux boutons de sa robe... ce qui est suffisant pour constater que ses seins énormes débordent littéralement d'un soutient-gorge pourtant déjà conséquent et ses gros tétons à l'air.
"Je vois. Je vois...". Le postier s'approche pour tâter ces deux obus. Madame Clément en profite pour l'embrasser fougueusement. Puis d'autres boutons sont dégraffés faisant jaillir les belles pastèques. Le type titille les tétons avec sa langue pour ensuite littéralement dévorer ces très généreuses mamelles. "Est ce que tu aimes les cravates de notaires?". Bien sûr ,quelle question. Blotti entre les roberts de la concierge le postier effectue des vas et viens de plus en plus rapides puis au bout de quelques minutes il libère sa semence. Le coup de madame Clément se retrouve plein de foutre qu'elle étale consciencieusement sur ses seins avant de les lècher goulûment.
Remit de ses émotions le facteur rentre son attirail.
"On se revoit très bientôt madame Clément... pour les étrennes!."
"C'est ça oui... pour les étrennes!."