Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 07:07

Samia est une ravissante femme de ménage travaillant dans un hôtel proche d'un aéroport. Mariée à un homme de vingt ans son ainé elle s'ennuie prodigieusement en matière de sexe et elle s'est jurée d'y remèdier. Elle est pourtant une jolie femme ,des cheveux noirs et lisses qu'elle cache sous un voile et de magnifiques yeux charbonneux mais c'est surtout sa silhouette qui attire le regard. Samia dispose d'une forte poitrine, un 110E en forme de poire et de grosses fesses qui s'épanouissent de façon indécentes quand elle se baisse. 

  Elle en arrive à déséspérer de trouver un amant lorsqu'un jour elle fait une découverte tout à fait inattendue. Elle commence à faire le ménage dans une chambre qui ne se trouve pas fermé à clé et remet de l'ordre et au bout de quelques minutes elle entend de sourds gémissements provenant de la salle de bain.

  Elle s'approche. Connaissant parfaitement la nature de ses bruits elle entrouve la porte de la salle de bain et voit deux femmes encore habillées en train de s'embrasser et de se caresser.

Samia recule d'horreur. Elle ne peut imaginer la chose entre deux personnes du même sexe. Le mieux pour elle maintenant serait de partir mais quelque chose la retient ,comme une main invisible qui l'agrippe. Les gémissements se poursuivent accompagnés de bruits de succion et de langue. 

  Samia est terrorisée. Elle ne sait plus quoi faire. De nouveau elle jette un oeil sur le spectacle de la salle de bain. L'une ,une blonde décolorée bouffe le minou de sa partenaire ,une brune plutôt potelée aux cheveux courts et qui est en train de se tordre face aux assauts de langue.

  Soudain la brune se rend compte de quelque chose. Elle vient d'apercevoir le visage de Samia dans l'entrebaillement de la porte. Des secondes de plomb s'écoulent mais elle ne dit rien, au contraire la brune se mit à sourire et ses soupirs de jouissance s'amplifit. Samia est comme atteinte par la foudre. La brune n'arrête plus de la regarder en souriant pendant qu'elle sert copieusement le plat du jour à sa copine. A deux ou trois reprises la brune lui montre carrément sa langue. Une langue décorée d'un piercing rose sur le dessus. Samia n'en peut plus et commence à se caresser l'entrejambe.

  La brune lui fait maintenant signe de la main de venir,sa copine blonde qui jusque là n'avait pas décollé des cuisses se retourne l'air comme horrifié.

  La brune lance à Samia.

  -Profites du spectacle. C'aurait été un homme on t'aurais viré...

  Sa copine proteste.

  -Tu déconnes. C'est une voilée. Elle déteste les gens comme nous...

  La brune sourit.

  -Si elle nous détestait. Elle serait pas ici à nous matter depuis dix minutes. Viens là. N'ai pas peur...

  Timidement Samia entre dans la salle de bain. A ce moment là elle se fait l'effet d'une petite fille.

  -Comment t'appelles tu?.

  -Samia.

  -Tu as un beau visage Samia sûrement comme le reste. Moi je m'appelle Dorothée et ma copine c'est Félicia.

  -Donnes lui nos numéros de téléphone pendant que tu y es. Moi je me casse.

  Et Félicia se casse ,sa chevelure blonde effleure Samia qui ne sait plus quoi faire.

 -T'inquiètes pas c'est une lunatique, elle reviendra. Est ce que le spectacle t'a plu?.

  -Beaucoup.

Samia est surprise de s'entendre dire ça mais c'est la vérité. Quelque chose s'est réveillé chez elle ,qui existait déjà et qui ne demandait qu'à surgir.

  Dorothée prend sa poitrine à pleine main. Elle est de carrure caustaude. On pourrait très bien l'imaginer abattre des arbres.

  -Tu les aimes mes seins Samia?. Félicia dit que ça lui rapelle les moelleux aux chocolat de son enfance...

 Mais Samia prend conscience que l'heure tourne.

  Excusez moi. Je dois reprendre le travail.

Dorothée sourit.

  -Ne t'en fais pas. Si tu souhaites me revoir saches que je suis là chaque fin d'après-midi. On fera plus ample connaissance.

 

 

Par vincent2701.erog.fr
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Vendredi 10 juillet 5 10 /07 /Juil 19:53

-Et toi chiennasse, tu t'allonges sur le matelas sur le coin là!.

Et effectivement dans un coin se trouvait un matelas à l'hygiène douteuse sur lequel elle se vautra. Maitre Hercule commenca à triturer sa chatte avec son majeur. Elle s'allongea sur le dos en écartant les cuisses alors que maitre Hercule lui mettait un deuxième doigtJe ne put m'empêcher de me planter derrière elle et de fourrer ma bite dans sa bouche. La vieille salope s'en empara tout en poussant des gémissements. D'une main elle me caressait la jambe ,l'entrejambe, les couilles ,les fesses...

Ses caresses étaient un délices et je bandais comme un fou. Enfin je mettais ses couilles dans sa bouche ,et sans prévenir me planta un doigt dans le cul. La chienne tournait, tournait... pour le retirer puis elle commença à me lêcher le cul!. Je m'installais confortablement sur son visage et me branlais entre ses énormes loches!. Je n'avais pas le cul très propre mais elle n'en avait rien à foutre. 

  Cette fois Maitre Hercule rentra complètement sa main et je sentais les hurlements de la chienne sur mon cul. Maitre Hercule me regarda. 

  -Viens. On va la fister tout les deux chacun son trou!!!...

  Je me relevais et la chienne se retourna pour se remettre à quatre pattes. Maitre Hercule remit sa main dans la grosse chatte... il tournait régulièrement sa main en expert. La chienne commençait à crier de plaisir. A mon tour je m'occupait de la petite porte de service qui était plus difficile à forcer mais ça rentra ,dans un bruit de pet et d'odeur fécale, ma main s'engloutit entièrement dans le fondement de la salope. Elle avait le cul trempé!!!... La salope hurlait.

  -C'est ça... gueule, salope!. De toute façon personne ne t'entendra. Cette salope de madame Bernard se tortillait sous l'emprise du plaisir et de la douleur. 

Et elle hurlait. Elle hurlait...

 

Ensuite il nous vint à moi et Maitre Hercule une même idée. Je m'allongait sur le dos sur le matelas. La chienne se planta sur mon chibre. 

  -Par le cul salope!. On va te prendre tous les deux par le cul!...

Chose promise, chose dûe. Nos bites toutes deux de bonnes tailles forcèrent ensemble la rondelle de mon ancienne directrice adjointe. Je ne la reconnaissais plus et je ne penses pas qu'elle m'ait reconnu...

Ses mamelles gigantesques me fouettaient la gueule aussi je les bouffais comme un chacal. Les yeux mi-clôs ,le masque de l'émotion au visage, elle me sourit. Je remuais alors encore plus mon bassin pour l'enculer encore plus fort et Maitre Hercule fit de même...Longtemps, très longtemps nous la prenions ainsi. Comme des chiens sur un morceau de viande...

Et elle hurla... hurla.

Par vincent2701.erog.fr
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Mardi 7 juillet 2 07 /07 /Juil 18:42

Samia est une femme d'origine marocaine mariée à un homme bien plus âgé devenu bande-mou. Ce n'est pas qu'il était un Apollon du sexe mais c'était mieux que rien et elle a toujours adoré le sucer...

Mais maintenant c'est fini et Samia se fait du bien par elle-même mais elle sait que cela reste insuffisant. Physiquement Samia est une femme plutôt jolie; un joli visage ,des yeux noisettes pleins de douceur ainsi qu'une chevelure épaisse châtain sombre qui ondulent sur ses épaules et qu'elle se retrouve obligée de cacher pour satisfaire son bigot de mari. Et puis il y a ces formes qui malgré le hijab qu'elle porte arrondissent avec bonheur le tissu noir. Sa silhouette évoque une bouteille de Coca-Cola et chaque fois qu'elle croise des hommes, collègues ou clients d'hôtel, elle sent derrière son dos leurs regards se retourner, et elle peut deviner des pensées scabreuses et interdites.

  A l'hôtel où elle travaille comme femme de ménage elle doit faire les chambres l'après-midi et de temps à autre, de la chambre voisine elle peut entendre comme des échos. D'abord sourds et confus  les bruits deviennent de plus en plus des gémissements répétés de plus en plus vite, souvent accompagnés de grinçements de ressorts. Un jour une femme à l'orgasme particulièrement bruyant poussait ses cris d'amour qui s'entendait de tout l'étage. En allant d'une chambre à l'autre Samia tombait alors parfois sur un client alors que du couloir l'on entendait aussi les cris de jouissance. Parfois un type lui faisait un clin d'oeil en souriant puis désignait du regard la porte de la chambre d'où venait la copulation. A un moment Samia n'en tenant plus s'enferma dans une chambre. Elle tremblait de tout son corps et mouillait déjà de son entrejambe. Ni une ni deux elle prit un coussin boudin du lit, se plaça à califourchon dessus et commença à se frotter. La chambre voisine continuait à s'animer et Samia câla le rythme de ses va-et-viens sur les râles féminins. Elle enviait cette femme. Elle l'enviait d'une manière totale, maladive. A cet instant là elle aurait échangée sa vie entière pour être à sa place. S'approprier ce corps d'homme. Le sexe au sommet de l'extase. A ce moment là elle ne savait plus vraiment qui elle était et son bas-ventre généreux s'activait vigoureusement sur le boudin mouillant le tissu noir du hijab de sa jouissance.

Puis les cris s'atténuèrent peu à peu. Samia reprit ses esprits et remit un peu d'ordre. Jamais elle ne vit les visages de ce couple qui l'avaient si magnifiquement inspirée mais elle savait désormais qu'elle partagerait une jouissance semblable avec un homme, et ce ne serait plus jamais son vieux mari...

Par vincent2701.erog.fr
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Mercredi 1 juillet 3 01 /07 /Juil 07:39

Quelques jours ont passées et Sam n'en revient toujours pas d'avoir rencontré et baisé Evelyne. Depuis l'épisode des douches ils ont prit l'habitude de s'y retrouver régulièrement. La blonde et magnifique Evelyne se félicite de son 115E et de ses fesses plus que volumineuses, il lui a fallut longtemps pour accepter son corps et l'apprécier, c'est ce qu'elle a dit à Sam. 

-Mais maintenant je sais m'en servir car je sais ce que les hommes préfèrent...

 

  Les potes de Sam; Willy et Nic se plaignent qu'il ne les accompagnent pas plus dans leurs activités.

  -Toi tu as choppé une nana. Y a pas d'autre explication.

  -Peut être bien...et de votre côté?.

La chose s'avérait compliquée, la métisse repérée le premier jour se trouvait maquée avec un grand costaud d'un mètre quatre-vingt dix aux épaules larges et tatouées, alors ils ont lâché l'affaire. Ils s'étaient rabbatus sur des filles plus accessibles mais ce n'était pas non plus l'affaire du siècle.

  -Tu vois nous on te raconte tout et toi tu ne nous dis rien. Enfoiré!.

 

  Et Sam leur raconte alors sa rencontre avec Evelyne ,leur rencontre chaque soir et enfin il raconte leur rencontre de la veille: Evelyne une fois de plus s'était débrouillée pour rentrer plus toi que son mari. Elle avait demandé à Sam qu'ils fassent ça dans son mobil-home. Sam ne s'était pas montré chaud craignant que le mari rentre plus tôt. "Ne t'inquiètes pas pour ça. Il reste à la plage avec ses amis!. -Quel genre de mari laisse sa femme rentrer seule dans son mobil-home?... -Le genre de mari très compréhensif!..."

  Et elle lui sortit la tige du pantalon que Sam retira complètement. Il s'installa sur le canapé et leva les jambe. Evelyne se mit à lui lècher les testicules pendant qu'elle lui passait un doigt dans son anus. Le bonheur...

A force de se fréquenter elle commençait à savoir ce qu'il aimait. Elle tournaya longuement son majeur élargissant sa rondelle. Ensuite il s'allongea et elle s'assit sur lui, posée sur la queue de Sam elle montait et descendait dans des gémissements de bonheur intense. Sam sentit qu'elle mouillait inhabituellement, il en avait les couilles trempées... Puis il arriva. Julien ,son mari. Il était rentré plus tôt sans prévenir. 

  -Alors c'est avec lui que tu me trompes!!!... Espèce de salope!...

 J'étais tétanisé et je ne pouvais pas bouger. Evelyne continuait ses va-et-viens comme si de rien n'était tout en tournant la tête vers son mari avec cet air gourmand dans le regard.

  -Tu sais ce que c'est... il suffit à chaque fois que je tombe sur un beau vacancier pour que je le ramène içi.

"A chaque fois" Sam avait l'impression de devenir un numéro.

  -Restes comme ça pétasse!... Tu vas voir...

Et Julien se déshabilla. Il était assez grand ,les cheveux roux avec une barbichette. Il commençait à prendre le bide du buveur de bière. Sam eut le temps de voir sa queue longue et surtout si épaisse... puis le mari se cala derrière sa femme dont il força le petit trou sans aucun mènagement. Evelyne poussa un cri puis il l'encula violemment. Poussé par la terreur et l'excitation Sam remuait du bassin pour enfoncer sa bite dans la chatte de sa maitresse plus profondément. Pendant dix bonnes minutes les ressorts du canapé grinçèrent sous nos assauts. Evelyne continuait à crier, entre douleur et plaisir...

  Quand ce fut fini Julien se retira sans ménagement.

  -Ma câtin je t'ai trouvé des vicelards de première à la plage. Tu t'occuperas d'eux demain soir.

  Et il me lança un regard. 

  -Tu pourras continuer à baiser cette pute mais ce sera désormais en ma présence...

 

Willy et Nic ont maintenant des yeux hallucinés par l'histoire que vient de raconter leur ami.

  -Tu déconnes!. T'as tout inventé!...

  -Si vous voulez savoir si c'est vrai vous n'aurez qu'à vous pointer ce soir à la plage!.

Par vincent2701.erog.fr
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Jeudi 25 juin 4 25 /06 /Juin 12:03

Il me fallut quand même plusieurs semaines avant d'obtenir une réponse de Maitre Hercule. Nous échangions sur ce que je recherchais, mes goûts,mes penchants. Concernant madame Bernard je me lâchais et je n'hésitais pas à entrer dans les détails scabreux. Visiblement cela plu à Maitre Hercule qui  me donnait rendez-vous le week-end prochain en pleine forêt.

Oui .En pleine forêt à l'intérieur d'une cabane. Maitre Hercule me dit que là-bas tout était permis.

  Je passais les jours suivants à m'imaginer toute une quantité de scénarii. Le samedi matin j'étais en partance vers l'est: direction la forêt des Vosges.

Il me fallut un certain temps pour la trouver cette forêt mais Maitre Hercule me donnait par SMS des indications précises. Une fois sur les lieux je devais suivre un chemin forestier puis à un moment sur ma droite  se trouvait un arbre mort ,je devais quitter le sentier pour passer à côté de cet arbre et continuer à travers bois. Il me fallut deux cent mètres avant de distinguer comme une toiture éclairée par une toute petite clairière et complètement cernée par de la haute végétation.

  Tant bien que mal je me frayais un chemin jusqu'à ce que je trouve l'entrée. Comme convenu je frappais trois coups secs et quelqu'un m'ouvrit. Je ne distinguais pas grand chose à l'intérieur tout était trop sombre et seulement éclairé au plafond par la blancheur d'un néon sale et sinistre. Maitre Hercule me fit signe d'avancer.

  -D'après ce que tu m'avais dis sur Internet ma bonne grosse vache te plaisait beaucoup. Il va falloir être très pervers pour la satisfaire. Tu peux encore partir ,je t'aurais prévenu...

Elle était là...

Madame Bernard, l'ancienne directrice adjointe de mon collège, celle qui nous avait tous fait fantasmés mes camarades et moi elle se tenait là assise sur une chaise, ses deux énormes pis de vaches lui pendait jusqu'au nombril.

Sous les ordres de son maitre elle se mit à se caresser pour ensuite bouffer ses loches. La vieille chienne se tortillait sur sa chaise et se mangeait les tétons l'un après l'autre pendant qu'elle se caressait sa foufoune tasée avec l'autre main.

Puis Maitre Hercule s'approcha un collier à la main relié par une ceinture de cuir. Il lui mit puis il la força à se mettre à quatre pattes. Il se frottait l'entrejambe sur son visage, je pouvais observer sa bite gonfler sous le  pantalon de cuir pendant qu'il lui caressait ses cheveux noirs.

  -Elle sait que je me torche jamais après être passé aux chiottes. Avec elle pas besoin de papier hygiènique... Hein ma brosse à chiotte.

  Puis il fit tomber son pantalon et son caleçon ,ce fut alors qu'elle lui avala la queue qui était d'une très bonne taille. Il écarta bien les jambes pour qu'elle se loge entre son entrecuisse. Elle lui bouffait les couilles avec gourmandise produisant des bruits obscènes avec sa bouche.

  -Laaa... c'est ça!!!... Ca sens fort ,hein chiennasse?...

  -Mmmhh... gloogk... slluurppp!!!...Oui maitre. Ca sens la merde!. Et je dois vous laver...

  Et Maitre Hercule se retourna et écarta la raie de ses fesses révèlant un cul effectivement très sale et la chienne se mit à bouffer goûlument les traces marrons. Pendant qu'elle le léchait de long en large Maitre Hercule se mit à péter bruyamment. Au bout de quelques secondes une odeur infecte envahit la pièce mais tout çela m'excitait gravement, je sortis mon sexe devenu tout dure et entrepris de me masturber.

Maitre Hercule tourna la tête vers ma direction.

  -Ne t'imagine pas que tu vas te branler comme ça!. Viens. On va s'occuper tous les deux de cette salope!...

Par vincent2701.erog.fr
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